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A paraître : "L'Europe mal traitée" par les économistes atterrés

Les "économistes atterrés"  ( voir leur page facebook ici ) publient un nouveau livre le 13 juin 2012, intitulé l'Europe mal-Traitée. Voici une présentation de cet ouvrage :   Le 2 Mars dernier, un nouveau Traité, pompeusement intitulé «Traité pour la stabilité, la coordination et la gouvernance» (TSCG), dit aussi « Pacte budgétaire » , a été adopté par les chefs d'État et de gouvernement de la zone euro. Ce court Traité est d’une importance capitale. Après Maastricht et Lisbonne, il constitue un Acte III de l’histoire de l’euro, radicalisant de façon inédite les principes ordo-libéraux qui président, depuis son origine, à la construction de la monnaie unique.  En paralysant les politiques budgétaires nationales, en installant la prétendue « règle d’or » budgétaire (pas plus de 0,5 % de déficit structurel), ce Traité va plonger l’Union européenne dans une austérité perpétuelle. Ne s'attaquant à aucune des causes de la crise actuelle, il va l'aggraver

Traité de Lisbonne : l'Irlande revotera en octobre

Le Conseil des chefs d'Etat et de Gouvernement, réuni les 18 et 19 juin 2009 a indiqué que les irlandais seraient appelés à revoter sur la question du traité de Lisbonne mais a dans le même temps "tenu à rassurer Dublin en adoptant une «décision (...) relative aux préoccupations du peuple irlandais". Le texte aborde le «droit à la vie, famille et éducation», la «fiscalité» et la «sécurité et défense», trois thèmes qui se sont retrouvés au centre des préoccupations des irlandais lors du premier vote. L'avortement ne sera pas autorisé en Irlande Le Conseil affirme tout d'abord que le traité de Lisbonne n’a aucun impact sur «l’applicabilité et la protection du droit à la vie» prévue par la législation irlandaise, et sur la compétence des Etats membres dans le domaine fiscal. En outre, la décision précise que «le traité de Lisbonne n’affecte pas la politique traditionelle de neutralité militaire de l’Irlande». Le Conseil assure également que le traité

Il faut "politiser" les prochaines élections européennes !

"Il faut faire des élections européennes de juin 2009 un vrai enjeu et politiser les débats" ; Le message donné par treize "think tanks" européens dans une contribution commune de 330 pages résonne comme un appel. Coordonnée par Gaëtane Ricard Nihoul responsable de "Notre Europe" et Elvire Fabry, directrice europe de la Fondation pour l' innovation politique, cette contribution fait le point sur les grands chantiers de la "troïka" des présidences de l' Europe (France, Tchéquie, Suède) qui s' enchaînent depuis juillet 2008 jusqu'à janvier 2010. Le défi démocratique : clarifier les choix politiques de l' Europe "La première victime du déficit de soutien civique à l' UE pourrait être le processus de ratification, qu' il est important de ne pas considérer comme acquis", anticipait Gaëtane Ricard Nihoul dans ce livre publié fin mai, juste avant le Non irlandais. "Les élections de juin 2009 sont un

Traité de Lisbonne : Les Irlandais sur la voie du Non !

Selon les derniers sondages publiés en Irlande, le "non" au traité de Lisbonne serait en passe de l' emporter par 35 %, contre 30 % au "oui". 28 % des personnes interrogées continueraient à se montrer indécis dans une campagne très suivie puisque 7 % seulement des électeurs auraient l' intention de ne pas participer au vote. Dans le cas d' un Non au référendum, la présidence française débuterait sur une crise, ce qui ne serait sans doute pas pour déplaire à Nicolas Sarkozy, placé en position de gérer un moment de tension comme il les aime. Dores et déjà, des voix alarmistes se font entendre pour crier à la "paralysation de 27 Etats par 2 millions d' Irlandais". Les raisons du Non Selon les éditorialistes repris par le site "Toutel'Europe.fr", la principale raison qui motive le choix des anti-Lisbonne serait la méconnaissance du traité. Mais on sait, et l' affiche ci-dessus le montre bien, que les irlandais son