Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles associés au libellé euro

L'Euro : Chypre dans la tourmente, la Lettonie demande à entrer !

Jean Pierre Vesperini publie dans la série " A savoir" (de tous petits livres à glisser dans la poche des éditions Dalloz), un guide sur l'Euro, ses "origines, vertus et vices" , ainsi que ses perspectives d'avenir.  Le 1er janvier 2002, les billets et les pièces en euros ont été introduits dans douze des quinze États membres que comptait alors l’Union européenne. En 2012, dix-sept des vingt-sept États membres de l'Union européenne ont adopté cette monnaie commune : Allemagne, Autriche, Belgique, Chypre, Grèce, Espagne, Estonie, Finlande, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas Portugal, Slovénie et Slovaquie ( Grande-Bretagne, Danemark, Suède, Hongrie, Roumanie, Bulgarie, République tchèque, Pologne, Lituanie et Lettonie ne font pas partie de la zone euro). Depuis la mise en place de l'Union économique et monétaire, l'euro est devenu l'un des symboles les plus visibles de l'intégration européenne, et si les évènements

Les eurodéputés sceptiques sur le "capitaine" Sarkozy...

" Nicolas Sarkozy aime se donner des allures de grand capitaine, mais au niveau de l'Europe et face à Angela Merkel , il fait plutôt figure de  junior"... La formule est assassine, elle est signée Pierre Moscovici , mais elle traduit bien le scepticisme avec lequel la classe politique et les élus d'opposition ont accueilli la nouvelle annonce, le 27 octobre, du "sauvetage de la zone Euro" ... Paradoxalement, le Président français a du manger son chapeau : lui qui n'avait pas craint de faire annuler, par ses déclarations sur le Tibet, le sommet Chine/Europe organisé durant sa présidence française de l'Union en 2008  (lire ici) , n'a pas hésité à faire appel... au  gouvernement chinois pour renflouer le Fonds Européen de Stabilité Financière ! Pour la délégation des eurodéputés socialistes français, le Conseil européen n'a fait qu' "entériner" la dégradation de l’Europe. Dans son intervention, Catherine Trautmann a exprimé l