Dans un communiqué commun, "les Jeunes Européens-France", les mouvements de jeunesse des partis politiques et les mouvements politiques de jeunesse réclament une campagne réellement européenne pour les élections de juin prochain.
Permettre aux citoyens de choisir leurs candidats aux postes-clés de l’Union européenne.
"En tant que jeunes Européens, partageant la vision d’une Europe fondée sur les valeurs de démocratie, de paix, de droits de l’Homme, de solidarité, de liberté et de développement durable, nous reconnaissons le succès de l’intégration européenne mais nous soulignons que nous ne pourrons faire face aux défis futurs que si l’UE est capable de parler et d’agir comme une réelle Union politique", indique le communiqué.
Avec l’objectif d’une Europe plus transparente, les mouvement de jeunesse des partis politiques – Jeunes d’avenir, Jeunes radicaux de gauche, Jeunes radicaux, Jeunes démocrates, Jeunes centristes, Jeunes populaires – et les Jeunes Européens-France, association transpartisane, espèrent que dans un délai raisonnable avant juin 2009 les citoyens connaîtront les noms et les visages des candidats aux principaux postes politiques au sein des institutions européennes.
"En tant que jeunes Européens, partageant la vision d’une Europe fondée sur les valeurs de démocratie, de paix, de droits de l’Homme, de solidarité, de liberté et de développement durable, nous reconnaissons le succès de l’intégration européenne mais nous soulignons que nous ne pourrons faire face aux défis futurs que si l’UE est capable de parler et d’agir comme une réelle Union politique", indique le communiqué.
Avec l’objectif d’une Europe plus transparente, les mouvement de jeunesse des partis politiques – Jeunes d’avenir, Jeunes radicaux de gauche, Jeunes radicaux, Jeunes démocrates, Jeunes centristes, Jeunes populaires – et les Jeunes Européens-France, association transpartisane, espèrent que dans un délai raisonnable avant juin 2009 les citoyens connaîtront les noms et les visages des candidats aux principaux postes politiques au sein des institutions européennes.
En particulier, la composition de la Commission devra refléter les résultats des élections, comme prévu par le Traité de Lisbonne qui doit être ratifié selon ces organisations "dès que possible".
Politiser le processus décisionnel de l’UE pour garantir un débat transfrontalier
"Les élections parlementaires européennes, le renouvellement de la Commission et la nouvelle législature présentent une opportunité unique pour les citoyens européens d’avoir leur mot à dire sur le développement des politiques dans l’UE. Il est important de faire de ces élections une réelle question européenne, centrée sur les enjeux qui concernent tous les citoyens de l’UE et pas uniquement les intérêts particuliers de chacun des 27 Etats-membres.
Par conséquent, nous croyons que la politisation et la personnalisation du processus décisionnel de l’UE est une étape naturelle vers l’intégration européenne et le meilleur moyen d’une part de garantir un débat transfrontalier sur les enjeux affectant nos vies et d’autre part d’intéresser les jeunes mais aussi tous les citoyens à l’échéance électorale européenne.
Parallèlement nous devons les informer, dans des termes plus simples, sur le rôle des institutions européennes ; leur complexité est en effet difficile à comprendre pour la plupart des citoyens.
Notre génération n’a pas peur de rendre l’Union européenne plus proche de ses citoyens et attend des décisions courageuses de nos institutions et leaders européens et nationaux.
Il est temps que nos leaders européens et que nos institutions recueillent une véritable légitimité démocratique".
Politiser le processus décisionnel de l’UE pour garantir un débat transfrontalier
"Les élections parlementaires européennes, le renouvellement de la Commission et la nouvelle législature présentent une opportunité unique pour les citoyens européens d’avoir leur mot à dire sur le développement des politiques dans l’UE. Il est important de faire de ces élections une réelle question européenne, centrée sur les enjeux qui concernent tous les citoyens de l’UE et pas uniquement les intérêts particuliers de chacun des 27 Etats-membres.
Par conséquent, nous croyons que la politisation et la personnalisation du processus décisionnel de l’UE est une étape naturelle vers l’intégration européenne et le meilleur moyen d’une part de garantir un débat transfrontalier sur les enjeux affectant nos vies et d’autre part d’intéresser les jeunes mais aussi tous les citoyens à l’échéance électorale européenne.
Parallèlement nous devons les informer, dans des termes plus simples, sur le rôle des institutions européennes ; leur complexité est en effet difficile à comprendre pour la plupart des citoyens.
Notre génération n’a pas peur de rendre l’Union européenne plus proche de ses citoyens et attend des décisions courageuses de nos institutions et leaders européens et nationaux.
Il est temps que nos leaders européens et que nos institutions recueillent une véritable légitimité démocratique".
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